K.A.K. Qu'est ce que c'est ?


En hommage à nos ancêtres Gaulois et à la terre Bretonne aux racines Celtiques.
"Koad Ar Kelt" ou en français, " le Bois du Celte", en mémoire à ces coutumes respectueuses de la nature et du vivant.

Comme l'étaient les peuples Nordiques, Amérindiens, Mayas, Azthèques, Incas, Indiens, Africains ...

Particulièrement respectueux de la terre, de la nature et des éléments : ces peuples et leurs anciennes traditions sont un exemple pour nous, dans leur rapport à l’environnement et au vivant.
Intégrés à la vie de leur écosystème et non en marge, comme le sont nos sociétés modernes, Ils reflétent un principe fondamental de la permaculture : "Sans aller à l’encontre de la nature, mais avec elle".

Nous vous proposons un modèle de ferme autonome, que nous souhaitons rendre viable, vivable et concret afin de le partager avec vous, et qu'il puisse en naitre d'autres ailleurs.

Autour de la culture de spiruline et du potager naturel, axés sur la permaculture, nous vous recevrons en camping à la ferme.

Terrier 2022

Rétrospective 2018 - 2019

Présentation du projet 2017

En 2024




Nos activités




La Bretagne

    Dans le Morbihan, la ferme se construit pas à pas.
    Sur des terres profondément celtiques et résistantes, au sein d'une nature sauvage merveilleuse qu'il nous tient à coeur de protéger, les travaux se poursuivent au gré des saisons.

Permaculture

    Nous mettons tout en oeuvre pour observer, respecter la nature et réapprendre à vivre avec elle : à son rythme, en son sein, loin du stress et du tumulte à contre courant du mode de vie moderne.

Participer

    Nous organisons ponctuellement des chantiers participatifs, afin de faire des rencontres, vous faire profiter de notre mode de vie et pouvoir apprendre, partager et échanger. Contactez-nous !

Citation

« Bien au-delà des plaisirs superficiels toujours inassouvis, la sobriété permet de retrouver la vibration de l’enchantement, le sentiment de ces êtres premiers pour qui la création, les créatures et la terre étaient avant tout sacrées. »

Pierre Rabhi